En juillet-août, les Machines de l’île ont vendu 185 525 billets, soit à peine plus qu’en 2013, leur plus mauvaise année depuis l’ouverture du Carrousel des mondes marins.
À cause du covid-19, leur jauge a été réduite et les étrangers sont venus en moins grand nombre. L’honneur pourrait être sauf. Mais, fidèle à une longue tradition de bidonnage, Pierre Orefice tente quand même de faire passer les chiffres pour ce qu’ils ne sont pas…