18 février 2022

C’est comme la confiture des années 1990

Les années 1990 ont été celles de la culture à Nantes. C’est en tout cas la thèse soutenue par Presse Océan dans son numéro du 14 février. La preuve ? Le pont Senghor, les travaux à Malakoff, les Navibus et le palais de justice. Sic. Et Jean Blaise, quand même, qui a tout inventé : placer des œuvres d’art dans l’espace public (les civilisations de l’Antiquité n’y avaient pas pensé), remplacer le mot « tourisme » par le mot « voyage » (enfoncé, Stendhal, qui avait fait l’inverse), découvrir que Nantes et Saint-Nazaire sont toutes deux baignées par la Loire (Fluctuat nec mergicultur)…

...mais en culture aussi

Voir article complet sur Nantes Plus :

http://nantesplus.org/annees-2000/

Depuis les années 2000, les impôts se cultivent à Nantes

08 février 2022

Cachez ce sapin que je ne saurais voir

Virginie Meillerais déplorait l’autre jour dans Presse Océan que Nantes Métropole ne crie pas sur les toits qu’elle a reçu en décembre un « Green Cities Award » récompensant le Jardin extraordinaire.

Maintenant, est-ce le prix qui fait la promotion de Nantes ou Nantes qui ferait la promotion du prix si elle en parlait ? Il est décerné par une association européenne de paysagistes et pépiniéristes. Beaucoup de prix décernés par des organisations professionnelles servent d’une part à se faire connaître, d’autre part à remercier de gros clients.

Est-il si opportun de rappeler le coût de l’aménagement du Jardin extraordinaire ? En 2016 déjà, les espaces verts coûtaient à chaque Nantais 135 euros par an. Soit trois fois plus que la moyenne française (46,50 euros).

Et puis, la représentante des paysagistes français qui participait au jury « Green Cities Award » est une passionnée de sapins de Noël. Et ça aussi, c’est un sujet que Johanna Rolland préfère sans doute glisser sous le tapis.

Voir article complet sur Nantes Plus :

http://nantesplus.org/green-cities-award/

Green Cities Award : Ces classements dont Nantes ne se vante pas trop