20 mars 2015

Nantes et la Loire (11) : Schoelcher à plat

La passerelle Victor-Schoelcher, qui relie le parking de l’île Gloriette au Palais de justice de Nantes, monte et descend au gré de la Loire. Elle est construite sur des vérins hydrauliques qui maintiennent une hauteur constante entre son tablier et la surface de l’eau. La navigabilité du bras de la Madeleine est ainsi préservée. Cela signifie que sa configuration est souvent du genre ci-dessous :

Mais on dirait que le système a des ratés. À l’approche de la marée du siècle, le 21 mars, voici comment se présentait la passerelle hier au moment des hautes eaux :

3 commentaires:

  1. Paroles / Lyrics: Serge Reggiani
    DESSIN DANS LE CIEL
    Paroles: C. Roy
    https://www.youtube.com/watch?v=vwAt2IFNdLk

    Si vous voulez savoir où je suis
    Comment me trouver, où j'habite
    C'est pas compliqué
    J'ai qu'à vous faire un dessin
    Vous ne pouvez pas vous tromper

    Quand vous entrez dans la galaxie
    Vous prenez tout droit entre Vénus et Mars
    Vous évitez Saturne, vous contournez Pluton
    Vous laissez la Lune à votre droite
    Vous ne pouvez pas vous tromper
    Quand vous verrez tourner dans les grands
    Terrains vagues d'espace
    Des spoutniks, des machins
    Des trucs satellisés
    Des orbites abandonnées
    La fourrière d'en haut
    La ferraille du ciel
    C'est déjà la banlieue
    La banlieue de la planète
    Où je passe le temps
    Vous continuez tout droit
    Là, vous verrez tourner une boule
    Pleine de plaies, pleine de bosses
    C'est la terre, j'y habite
    Vous ne pouvez pas vous tromper

    Vous vous laissez glisser le long du Groenland
    Qui fait froid dans le dos
    Attention! Ça dérape...
    Vous prenez à droite par la mer du Nord
    Et à gauche vers La Manche
    Et là, là vous trouverez un machin
    Qui ressemble à la tête d'un bonhomme
    En forme d'hexagone
    Avec un très grand nez
    Un nez qui n'en finit plus
    Un nez qui respire la mer
    Un nez en forme de Finistère
    C'est la France, j'y habite
    Vous ne pourrez pas vous tromper

    Vous continuez tout droit
    Jusqu'à un fleuve blond
    Qui s'appelle la Loire
    Les yeux couleur de sable
    Vous le prenez à gauche
    Et puis à droite, et puis tout droit
    Et quand vous êtes là
    Quand vous êtes là
    Quand vous êtes là
    Demandez la maison
    Tout le monde nous connaît
    Vous ne pouvez pas vous tromper
    Elle a, elle a, elle a, elle a...

    Elle a les yeux comme ceci
    Et les cheveux comme cela
    Il y a sa bouche qui est là
    Et son sourire juste au coin
    Elle est toujours là où je suis
    Je suis toujours là où elle est
    Elle est la lampe, elle est l'horloge
    Mon feu de braise, mon lieu-dit
    Elle est ma maison, mon logis
    Et de toute façon quand vous aurez vu son sourire
    Vous ne pourrez pas vous tromper

    Parce que... Parce ce que...



    Parce que... C'est là!

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  2. Merci pour cette info, Sven ! Pour alimenter ton blog, je tenais à te signaler que les ampoules de deux lampadaires de la rue des Carmes sont grillées depuis mardi dernier, et qu'hier un tram (ligne 2 direction Orvault-Grand Val) s'est arrêté pendant 15 min à la station Motte Rouge pour cause de "problème sur la voie". Il y a aussi ce voisin qui ne sort plus ses poubelles de la cour de mon immeuble : j'aimerais bien que tu viennes prendre une photo, mais bon, je ne peux pas te filer l'adresse (il parait que ce serait de la délation...). En tout cas, ça prouve bien que Nantes va très mal !

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  3. Merci pour ce colossal et désopilant morceau d'humour. Ce blog a des lecteurs dignes de lui !

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