David Martineau ne sera pas candidat aux municipales. Son
retrait préfigure-t-il celui de l’Arbre aux Hérons ? On relira avec intérêt
ce
qu’il déclarait à Daniel Morvan, d’Ouest France, le 20 septembre 2015.
« Ce projet doit se faire maintenant ou jamais », assurait-il
alors. Quatre ans plus tard, difficile de soutenir qu'on est encore dans le « maintenant ». Ce sera donc jamais.
Il posait à l'époque trois conditions : « Qu'il soit un grand projet industriel porté par tous les Nantais. Qu'il bénéficie d'un financement non-public par mécénat et financement participatif. Enfin, que soit mesuré le coût de fonctionnement d'un tel équipement ».
Le coût de fonctionnement reste inconnu ; en tout cas, il n’a pas été proclamé. Quant au financement non public, le proclamé et le réalisé ont du mal à se rejoindre. Les initiateurs du projet ont commencé à rechercher des mécènes depuis janvier 2015 (il y a presque cinq ans, donc). Le Fonds de dotation de l’Arbre aux Hérons a été créé en 2017. Quand le dernier obstacle fiscal a été levé, en juillet dernier, les quarante mécènes annoncés depuis longtemps par les initiateurs de l’Arbre ont enfin pu verser leur écot.
Hélas, après avoir tant attendu, ils n’ont plus eu l’air si pressés. Voudraient-ils voir d'abord ?
Il posait à l'époque trois conditions : « Qu'il soit un grand projet industriel porté par tous les Nantais. Qu'il bénéficie d'un financement non-public par mécénat et financement participatif. Enfin, que soit mesuré le coût de fonctionnement d'un tel équipement ».
Le coût de fonctionnement reste inconnu ; en tout cas, il n’a pas été proclamé. Quant au financement non public, le proclamé et le réalisé ont du mal à se rejoindre. Les initiateurs du projet ont commencé à rechercher des mécènes depuis janvier 2015 (il y a presque cinq ans, donc). Le Fonds de dotation de l’Arbre aux Hérons a été créé en 2017. Quand le dernier obstacle fiscal a été levé, en juillet dernier, les quarante mécènes annoncés depuis longtemps par les initiateurs de l’Arbre ont enfin pu verser leur écot.
Hélas, après avoir tant attendu, ils n’ont plus eu l’air si pressés. Voudraient-ils voir d'abord ?
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