Dire que L’Arbre aux Hérons est complètement enterré serait aller vite en besogne. Il y a encore beaucoup de choses à dire sur les raisons pour laquelle Nantes Métropole a si longtemps soutenu un projet au contenu flou, aux perspectives d’exploitation médiocres et au financement difficilement accessible.
Voici par
exemple cinq questions en suspens. Des « bonus » par rapport à toutes
celles déjà posées, en somme.
- À quel moment l’abandon du
projet aurait-il dû être anoncé ?
Essai de réponse : Quand l’acier a pris 56 %, c’est-à-dire
jamais.
- En dehors de l’acier, quel aurait été le
surcoût dû aux autres fournisseurs ?
Essai de réponse : au moins 14 millions,
soit + 26,7 %.
- Qu’aurait coûté l’entretien de l’Arbre
aux Hérons ?
Essai de réponse : 18,2 millions d’euros en onze ans.
- Combien de jours par an l’Arbre aux
Hérons n’aurait-il pu ouvrir pour cause d’intempéries ?
Essai de réponse : au moins une centaine.
- À quand la réunion publique prévue au
pied du prototype de héron est-elle remise ?
Essai de réponse : aux calendes grecques.
Les essais
de réponse sont expliqués sur Nantes Plus :
http://nantesplus.org/questions-bonus-sur-larbre-aux-herons/
Quelques
questions « bonus » sur l’Arbre aux Hérons
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