- « Raison budgétaire lorsque, à titre d'exemple, le coût estimé des travaux dépasse le budget pouvant être alloué par la collectivité ». On nous a toujours dit que le prix à payer était raisonnable.
- « Insuffisance de concurrence ». Vu le nombre de demandes, on va plutôt vers une concurrence surabondante.
- « Incertitudes ayant affecté la consultation des entreprises » ou « procédure entachée d’irrégularités ». M. Auxiette mettrait alors en cause ses propres services.
- « Erreurs dans les exigences techniques des prestations ». Idem.
- « Disparition du besoin de la personne publique ». Ce qui supposerait l’abandon du projet d’aéroport ! Intéressant…
Le choix est vaste, mais aucun des motifs acceptables ne semble convenir en l'espèce. Or une chose est certaine : la décision de ne pas donner suite à un appel d’offre « doit être motivée. La motivation ne doit pas se limiter à une simple phrase générique invoquant l'intérêt général, mais doit également préciser les circonstances qui ont amené le pouvoir adjudicateur à prendre une telle décision. » Gribouille se jetait à l’eau pour éviter la pluie. Il serait cocasse que, pour éviter un risque de nullité très hypothétique, Jacques Auxiette ait pris une décision entachée de nullité !
Encore une décision grandguignolesque qui ne valorise pas ses auteurs et encore moins le projet visé...
RépondreSupprimerIls nous prennent pour des veaux !...
si la raison avancée n'est pâs la bonne, qelle est la bonne raison?
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