[...déjà cinquante
mots pour la carte de visite...
permettez que je reprenne mon souffle.....]
permettez que je reprenne mon souffle.....]
a publié en janvier 2013 une étude intitulée
Potentiel et perspectives de développement des plates-formes d'échange interentreprises ainsi qu’un Guide des échanges interentreprises de biens ou services, ou ‘barter’,
[...hhh ...hhh]
RES, on le sait, est l’un des modèles cités par Nantes Métropole pour son projet de monnaie complémentaire SoNantes piloté par MM. Bolo, Forgeau et Stern. On imagine que ces derniers ont au minimum croisé M. Traska dans les couloirs de Bercy.
Or, on l’a déjà dit, RES a annoncé en 2012 avoir « dû arrêter sa collaboration avec Monsieur Traska ». À la date de la publication des deux études du Pipame en partie inspirées par lui, cet « expert » ne représentait plus RES depuis un bout de temps déjà.
On s’étonne d’ailleurs de l’audience obtenue par cet étrange expert. Cinq minutes de recherches sur internet suffisent pour découvrir que M. Traska, comme on l’a signalé ici en novembre 2012, a dirigé un nombre respectable d’entreprises mises en faillite pour insuffisance d’actif dans les secteurs les plus divers (librairie, commerce de gros, lavage automobile, restauration rapide, conseil en gestion). Aujourd’hui dirigée par madame Traska, la société de gestion de fonds RES France est en liquidation judiciaire depuis le 9 mars 2011. Un RES Multimédia est aussi en liquidation judiciaire depuis juin 2012. On a les experts qu’on peut.
et si l'on demandait aux élus locaux de convertir leurs indemnités en sonantes? Si l'on substituait cette monnaie locale aux millions cinq d'Euros accumulés par le Premier Ministre cumulard. Car, la transparence voudrait que l'on affiche clairement d'où proviennent les ressources d'un élu qui a cumulé depuis la fin de son contrat de prof les indemnités de toutes sortes. L'engagement politique incontestable de l'ex maire, député, président de groupe, de SEM, de l'hôpital et autres groupements d'intérêts plus ou moins généraux sont à multiplier par nombre de mandats pour un résultat chiffrable en millions économisés grâce aux avantages liés aux fonctions. C'est quoi exactement l'abus de biens sociaux?
RépondreSupprimerVous avez raison, il est bon de rappeler que la fortune de JMA a été constituée uniquement à partir de rémunérations et indemnités publiques de toutes sortes depuis 1979. Cela relativise son dévouement à la société ! Mais il s'est contenté de faire comme les autres : toute la classe politique s'entend depuis longtemps pour se servir en premier, avec des indemnités confortables, des régimes sociaux hyper-favorables, des retraites dorées, des prêts à taux très faibles et un régime fiscal dérogatoire. Au bout du compte, l'étonnant n'est pas que JMA paie l'ISF mais qu'il ne se soit pas constitué un patrimoine encore plus élevé en un tiers de siècle de carrière d'élu cumulard ! (Mais peut-être les pare-choc de son combi sont ils en or massif, comme ceux de la Cadillac du Corniaud ?).
RépondreSupprimerLes compétences de M. Traska sont douteuses, OK. Mais que valent celles des gens que vous citez (Bolo, Forgeo...) ? Ils parlent d'un projet, ils ont une théorie, pas une expérience.
RépondreSupprimerM. Pierre Traska qu'on retrouve encore quand il s'agit de liquidation pour insuffisance d'actif. Bravo pour le faux projet Gastt qui a été présenté, bravo pour les salariés racheté de Erteco France (dia) filiale de Carrefour, qui n'ont plus de salaire et de travail. Bravo M. Traska.
RépondreSupprimerQuand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites ! La capacité de rebond de ce personnage pourtant archi-repéré est quand même étonnante. On le trouve même sur le site web de RES (http://www.res.be/france/index.asp?pid=regio/lafrance&pagelanguage=2&province=FRANCE) qui avait annoncé couper les ponts avec lui en 2012.
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