C’est dur à dire, mais on n’arrive pas à détester vraiment le Nantilus.
On essaiera de dire pourquoi dans les prochains jours. Pour commencer, avant de regarder la barge, tournons-lui le dos. Et que voyons-nous ?
Cet amoncellement de poubelles et ce parking sauvage sont-ils vraiment préférables au Nantilus ? On note au passage que les Nefs des chantiers navals sont transformées en panneau publicitaire pour La Machine, une association de droit privé qui joue de sa proximité avec Les Machines de l’île mais qui est parfaitement indépendante de Nantes et de la communauté urbaine, même si elle est subventionnée par elles. Elle n’est même pas nantaise puisque son siège se trouve en Haute-Garonne.
Le décor côté terre étant ainsi planté, on va pouvoir parler du Nantilus.
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