On est tenté de dire qu’après avoir touché le fond, Dobrée continue à creuser. Mais ce ne serait même pas vrai : bien qu'
« emblématique et exemplaire », comme disait naguère Jean-Marc Ayrault, le chantier du nouveau musée en sous-sol est bloqué pour une durée indéterminée, si ce n’est définitivement condamné. Et voilà que, sept mois après sa nomination et trois mois après l’annulation du permis de construire, Patrick Porte trouve la sortie.
C’est sans doute sage de sa part. Conservateur d’un musée fantôme, il avait peu de chances de voir le projet aboutir avant l’âge de la retraite. Pire,
comme on le disait ici au mois de mars,
« vu son pedigree, si les choses tournaient mal dans l'avenir, il ferait un excellent fusible ». Or les choses auraient difficilement pu tourner plus mal…
On retrouvera ci-dessous les précédents articles de ce blog consacrés au musée Dobrée :
En tout cas, ce n'est pas Patrick Porte-bonheur
RépondreSupprimermusee des beaux-arts, même scenario ?
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