Friture Mag, trimestriel d’informations et d’enquêtes du grand Sud, publie aujourd’hui un article qui va réveiller les inquiétudes éprouvées à Nantes fin septembre 2011 quand on avait annoncé le départ de François Delarozière pour Toulouse. « Chaque semaine depuis plusieurs mois, François Delarozière, le directeur artistique et fondateur de la compagnie La Machine, débarque à Toulouse », y révèle Ariane Mélazzini-Dejean.
« Des décisions devront être prises, nous n’attendons plus que le feu vert », déclare François Delarozière, cité par la journaliste qui le présente comme « exilé à Nantes ». « Il faut prendre une décision » est une phrase codée classique des couples qui vont vers le divorce. Delarozière n’a pas dit qu’il allait quitter Nantes. Mais il a au moins un soupirant à Toulouse : Pierre Cohen, le maire socialiste de la ville. Celui-ci se démène pour installer La Machine à Montaudran, piste d’envol historique de l’Aéropostale, en cours de transformation en quartier d’affaires high-tech. La ville de Toulouse a récemment voté 1 million d’euros de budget pour faire avancer le projet ; c'est donc plus qu’une idée en l’air.
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