Bizarre tout de même, cet entrefilet paru dans Presse
Océan le 25 avril : « il est prévu qu’une demi-douzaine de
Chinois viennent à Nantes avec le Cheval dragon afin d’apprendre à le
piloter ». Cela confirmerait ce que François Delarozière déclarait à
propos de Long-Ma après les spectacles de l’automne dernier à Pékin : « Nous
allons le réveiller au mois de mai 2015 et former des manipulateurs
chinois.
Il reste donc moins de trois semaines pour réaliser ce
projet. Or il faudrait au moins huit semaines pour transporter la machine de
Pékin à Nantes en cargo. Autrement dit, elle devrait être partie depuis cinq
semaines pour arriver avant la fin du mois ! Pourtant, personne ne semble
en mesure de confirmer. Ni d’infirmer, d’ailleurs.
En avion, bien sûr, le trajet serait plus rapide. Quand elle
a rejoint Pékin, la machine de François Delarozière, divisée en trois parties,
avait été chargée à Nantes Atlantique dans un énorme Antonov pour
un coût que Vinci Airports évaluait à 600.000 euros. Un
Pékin-Nantes aller-retour pourrait donc revenir à plus d’un million d’euros ! Joli
budget. Là, le mystère ne porterait pas sur le calendrier mais sur le
financement !
Cela dit, si le but est de former des pilotes chinois, il
serait beaucoup plus efficace, plus rapide, plus économique et plus respectueux
de l’environnement d’envoyer un formateur des Machines à Pékin plutôt que de
faire venir à Nantes six Pékinois et leur machine ! Mais ce n’est pas
tout…
Jean Blaise ne fait plus rien de bon pour la ville, qui osera lui dire? . Il est temps de partir, le radeau de la méduse en signalétique sur le Mémorial indique bien l'état du sire...
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