D’un côté de la Loire, le palais de justice attend toujours qu’on lui change ses baies vitrées brisées par une main anonyme voici près d’un an.
De l’autre côté de la Loire, les lames de verre inutilisables s’entassent tristement sur le site du Mémorial à l’abolition de l’esclavage.Qu’attend-on pour boucher les trous de l’un avec les rebuts de l’autre ?
Un palais de justice aux vitres brisées, comme si la transparence gênait l'auteur. En brisant la glace peut-être celui-ci pensait-il aboutir à plus de complicité?
RépondreSupprimerSur l'autre rive, on a voulu graver dans le verre des textes qui auraient probablement mérité le marbre. Voilà le verre mal poli, une irrévérence notable.
Vous pourrez noter la présence sur le palais de justice, à l'arrière, d'un pannonceau indiquant aux piétons la direction du mémorial... qui n'est toujours pas ouvert. Ces 2 édifices sont bel et bien liés ! Et les services de la mairie ont soit des calendriers dissonants, soit de l'humour...
RépondreSupprimerOu peut-être qu'ils prennent leurs désirs pour des réalités ?
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