Le Voyage à Nantes 2019 va multiplier les nids géants de Tadashi Kawamata, en commençant
par celui de la gare. Érigés en œuvres d’art, les nids sont désormais sacrés,
comme les « Ni! » des chevaliers débiles de Monty Python Sacré Graal.Pourquoi ça ? Parce que les chevaliers débiles en ont décidé ainsi. Jusqu’au moment où ils décideront qu’ils sont désormais les chevaliers qui disent « Ekke Ekke Ekke Ekke Ptang Zoo Boing! »
Comment représenter ce nouveau tabou ? Oh, pas
d’inquiétude, Kawamata et Jean Blaise trouveront sûrement un moyen.
Le grand éléphant, le gigantesque arbre aux hérons, l'énorme banc public du jardin des plantes,
RépondreSupprimerle nid géant... Cette mode nantaise du XXL devient lassante.
Quand on a trouvé un bon filon, autant l'exploiter ! Le Voyage à Nantes espère sûrement entrer un jour dans Le Livre des records
RépondreSupprimerLes budgets sont XXL aussi !
RépondreSupprimerPour une autre oeuvre de Kawamata, il y déjà besoin d'une rallonge :
https://nantes.maville.com/actu/actudet_-nantes.-la-facture-du-belvedere-de-l-hermitage-flambe_loc-3738416_actu.Htm
quant à l'arbre aux hérons, en cette période préélectorale, il n'en est pas question.
Devinette : parce qu'il ne sera jamais construit, ou parce que le vrai prix ferait fuir les futurs électeurs ?
Je parierais que l'Arbre aux Hérons est devenu une sacrée épine dans le pied pour Johanna Rolland. Le projet séduit sûrement une partie de son électorat. Mais après avoir promis que les contribuables ne paieraient pas plus d'un tiers du budget, peut-elle aujourd'hui se déjuger ? Car de toute évidence l'argent privé comme public n'est pas au rendez-vous.
RépondreSupprimerSans compter que l'ouverture des Machines de Toulouse semble avoir froissé jusqu'aux chauvins Nantais les plus ravis. Plus le fait que, malgré tous le bonneteau autour des chiffres, la fréquentation est officiellement en baisse. Quelque chose s'est cassé.
RépondreSupprimerPauvre Rolland. Pas de chance. En tout cas, quoi qu'il arrive, hâte de ne plus jamais entendre parler de Bolo suite à 2020. Entre la Beaujoire, les Floralies, la pétition pour une démocratie sur le retour du 44 en Bretagne, il est devenu médiatiquement omniprésent. Comme si la perspective de la fin de sa carrière révélait qui est vraiment le patron.
Euh... avec le CHU, on risque d'entendre parler de Bolo encore un bout de temps, je crois !
RépondreSupprimer@Sven
RépondreSupprimerIl ne siège pas en tant qu'élu ?
Mais je vais vite en besogne, j'imagine, me basant sur rien, qu'il ne se représentera pas. Et que quelque part, il se mettait en avant ses derniers temps pour aussi préserver Rolland.
Oulah... Je découvre qu'il n'a que 57 ans ! Dame... Je lui en donnait 10 de plus.
RépondreSupprimerIl y a des gens qui n'ont jamais été jeunes !
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