L’article du New York Times à la gloire de Nantes (cf. le précédent post) indiquait que la réussite de la ville avait « une composante technologique ». En particulier, ses citoyens peuvent « obtenir des adresses électroniques gratuites, accessibles de chez eux ou de l’un des cent cinquante terminaux publics installés par la ville ».
Ce matin, le site web de la ville salue cet hommage à sa manière en annonçant que ce service, Mail in Nantes (en français dans le texte), est en panne :
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