La
ligne rose ne sillonne pas la ville depuis quinze jours que déjà des segments manquent. Le travail paraissait fait avec sérieux ; en certains endroits pourtant, rue de la Fosse en particulier, des bouts du ruban ont disparu. Est-ce dû au piétinement de nombreux badauds ? Au passage d’une balayeuse trop râpeuse ? À des vandales spécialement pugnaces ? On ne saurait le dire.
Il faudra bientôt un œil d’aigle pour repérer les vestiges de la ligne. S’ils n’ont pas un instinct de Petit Poucet, Nantes risque d’égarer ses touristes. Déjà qu’ils pourraient ne pas être très nombreux… Et les Canadiens de chanter, façon 1940 :
On ira pendr' notre linge sur la ligne Jean Blaise
Si on la trouve encore là.
T'inquiètes Sven, si ça se trouve, elle va revenir, et tu pourras rentrer à ta maison (au passage pommeraye ?)
RépondreSupprimerJe crois quand même avoir entendu des gens s'en plaindre au Mémorial au mois d'Avril dernier. Je suis un peu déçue, tu es en retard, moi qui te croyais toujours à la pointe... Jean te donne-t-il trop de boulot ?
Bonsoir Elle, merci de t'intéresser à ce blog. On dirait cependant que tu me prends pour un autre. Je ne sais s'il faut m'en réjouir ou le déplorer...
RépondreSupprimerCet été si il fait beau, j'essaye de suivre la ligne rose ou je vais à la plage ?
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