Après la publication du
post précédent, Jean-Luc Courcoult, qu’on croyait plus libéré des conventions, n’a pas tardé à modifier son
« climat de la création » pour rentrer dans le droit chemin de la syntaxe et de la concordance des temps. Enfin, presque : il évoque encore
« les années 1865 », ce qui est trop d’s pour une seule année, et
« les frères Cohen », ce qui est trop d’h pour les deux hommes.
Disparus en revanche les passages dont on s'amusait hier* :
- « L'homme se nourrit de légendes, probablement de celles qu'il ne vivra jamais mais dont les croyances font battre son cœur », etc., etc.
- « elle s'effondra sur le tapis persan de Bagdad lui arrachant quelques poils de cachemire »
- « Le jeune Ferman s'enfuit sans toucher les pieds du sol »
On fait sans doute partie de ces
« âmes trop sensibles » auxquelles le spectacle est désormais déconseillé…
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Au 21 juin, le texte intégral d'origine est encore visible sur le site ArtRock et sur celui de Paris Quartier d'été.
Vos remarques ayant été lues et jugées opportunes, ce qui marque une reconnaissance de vos judicieuses observations, vous devriez proposer d'assurer une relecture avant publication, car personne ne semble relire ou bien...
RépondreSupprimerMerci de le voir ainsi. Peut-être suis-je tout simplement passé un peu trop tôt, avant qu'un correcteur moins sarcastique n'intervienne ?
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