Les Machines de l’île viennent de rénover de fond en comble
leur Grand éléphant. Une opération à 770.000 euros hors taxes, quand même. Le
nouveau moteur de la machine a apporté de mauvaises surprises. Le reste
est-il réussi pour autant ?
Quant au barrissement, je dirais que non. Il me semble qu’il
a aujourd’hui des accents plus souffreteux que furieux, peut-être parce que les
aigus ont pris le dessus sur les graves. C'est un détail, bien sûr, mais le diable est dans les détails, comme chacun sait.
Ou bien le moment serait-il venu de consulter un oto-rhino et de me fournir chez M. Amplifon ? Est-ce le barrissement qui a faibli, ou mon ouïe ? De nombreux enregistrements disponibles en ligne permettent de se faire une idée. Voici le barrissement d’aujourd’hui selon une vidéo mise en ligne sur YouTube le 20 mai 2018. Pauvre bête ! En comparaison, le barrissement d’il y a cinq ans, selon une vidéo mise en ligne en 2013, évoquait davantage la puissance. Voilà ce que c’est que d’installer un petit moteur à la place d’un gros.
Ou bien le moment serait-il venu de consulter un oto-rhino et de me fournir chez M. Amplifon ? Est-ce le barrissement qui a faibli, ou mon ouïe ? De nombreux enregistrements disponibles en ligne permettent de se faire une idée. Voici le barrissement d’aujourd’hui selon une vidéo mise en ligne sur YouTube le 20 mai 2018. Pauvre bête ! En comparaison, le barrissement d’il y a cinq ans, selon une vidéo mise en ligne en 2013, évoquait davantage la puissance. Voilà ce que c’est que d’installer un petit moteur à la place d’un gros.
Un éléphant auquel on a arraché son gros diesel est devenu contreténor !?
RépondreSupprimerBientôt le Nisi Dominus sur le parvis?
RépondreSupprimerArticle inepte. La qualité du barrissement ne dépend pas du moteur mais du machiniste. Il s'agit de pincer une chambre à air dans laquelle passe de l'air comprimé qui sort sous la tête de l'éléphant. Il y a juste des machinistes plus ou moins doués ou tout simplement débutants. Vous auriez pu au moins vous renseigner.
RépondreSupprimer"Des chercheurs parviennent à cultiver des cordes vocales" SciencePost 21.11.15
RépondreSupprimerPlacées en permacul' parmis les salades au plomb de la Cantoche à Nantes, elles pourraient avantageusement viriliser le barrissement de not' nénéphant...
Une chambre à air pincée par le machiniste ! Ah ! ah ! ah ! elle est bien bonne ! Anonyme de 18:39, vous êtes un joyeux drille, mais le hoax ne fonctionnera pas : il suffit de lire ce qu'écrivent Les Machines, à savoir que l'Eléphant est bourré de technologies d'élite. Pas le genre à utiliser ce vieux truc de cours de récré.
RépondreSupprimerUn éléphant, ça trompe énormément! on croit à une matriarche et c'est l'éléphanteau du jour.
RépondreSupprimerLe barrissement se fait effectivement en pinçant une chambre à air. On peut le vérifier en posant simplement la question à n'importe quel machiniste, pilote de l'éléphant ou personne ayant fait le voyage sur le dos du pachyderme mécanique. Mais ça obligerait Sven, qui a écrit des dizaines d'articles sur l'éléphant, à admettre qu'il ne connaît pas son sujet...
RépondreSupprimerJoyeux drille ou pince-sans-rire voire tout à fait sincère, notre anonyme 22 mai 2018 à 18:39 - 23 mai 2018 à 15:56 est insaisissable !?
RépondreSupprimer"Un machiniste renseigne sur la vie de l’animal et déclenche, sous vos yeux, le barrissement" Site officiel Éléphant, pas plus de précision... Un déplacement in situ s'impose pour vérification.
RépondreSupprimerhttps://www.lesmachines-nantes.fr/decouvrir/le-grand-elephant/
Chapeau, Sven ! L'anonyme d'hier à 15:56 a lu vos "dizaines d'articles sur l'éléphant" et le seul sujet sur lequel il trouve à vous reprendre est la technique du barrissement !!!! Il confirme indirectement tout le reste.
RépondreSupprimerVotre remarque est judicieuse, merci. Je suis flatté que ce commentateur anonyme ait lu mes dizaines d'articles mais les a-t-il lus avec la dose de second degré qui convient ? Pas sûr, au vu de cet épisode.
RépondreSupprimerBien entendu, le barrissement de l'éléphant ne dépend pas du moteur, pas plus que le pouët-pouët de mon vélo n'est commandé par le pédalier. Mon blog a une vocation satirique : j'ai juste fait observer que le changement de moteur était concomitant à une dégradation de la qualité du barrissement en comparant un enregistrement ancien trouvé sur YouTube et l'enregistrement le plus récent. Tout le monde peut l'entendre !
Il n'est d'ailleurs pas impossible que la débandade du barrissement ait un lien avec les travaux récents si le tuyau d'arrivée d'air comprimé a été changé, et s'il a été durci ou ramolli par la chaleur des travaux ou le contact avec divers produits chimiques. L'acoustique a de ces mystères, et le fabricant du barriphone n'est pas Stradivarius.
Mais notre anonyme préfère rejeter la faute sur le lampiste : le machiniste qui pincerait de travers. Cela revient en fait à accuser Les Machines. Vu l'importance du barrissement pour la qualité de l'expérience client, elles devraient veiller soit à bien former leurs machinistes au pincement parfait, soit à les équiper d'un matériel plus fiable.
Sven vous est désespérant de mauvaise foi. Chaque fois qu'on vous fait remarquer une de vos âneries vous venez nous expliquer qu'on vous a en fait mal compris ou bien vous vous défaussez en arguant le second degré. La satyre ne consiste pas à écrire n'importe quoi. J'abandonne...
RépondreSupprimerComment ça, "chaque fois" ? Il n'a été question ici que des barrissements de l'éléphant -- un sujet mineur, vous en conviendrez, qui ne peut avoir d'intérêt qu'au second degré. Serait-ce un degré de trop pour vous ? Auquel cas, en effet, il ne vous reste qu'à prendre la tangente. (A propos de ne pas écrire n'importe quoi : "satyre" est un mot masculin.)
RépondreSupprimerLa Méforme, un blog de satyre (sic). Certes, les sujets peuvent paraître obscènes, l'évocation d'argent publique c'est vulgaire. La débauche n'est-elle pas plutôt du côté du nénéphant et des machines déb'île ?
RépondreSupprimerPublic...Grrr
SupprimerDe la presse nationale à la PQR, bien d'étranges infos :
RépondreSupprimerCorcoult veut fabriquer un p'tit King Kong géant. Souhaite-t-il défier Holywood sur des droits d'auteur ?
La Bretagne gallo historique et touristique annexe un bout de territoire normand.
http://www.lepoint.fr/societe/tourisme-de-nantes-au-mont-saint-michel-un-parcours-a-l-ouest-24-05-2018-2220943_23.php
http://m.presseocean.fr/actualite/nantes-royal-de-luxe-reve-de-king-kong-23-05-2018-272046
"Voyage en Bretagne" pour le site ??? Carrément ???
RépondreSupprimerL'annonce de l'an dernier parlait de seulement "Traversée moderne dans un vieux pays".
PressO reste d'ailleurs bloqué dessus.
Nom, encore une fois, réalisant le combo arrogance-suffisanse-mépris caractéristique de Jean Blaise et la clique de clônes cultureux.
Et un fond de FANATISME, pour le coup culturel, réservant le mépris pour la Bretagne, "vieux pays".
Surtout, un terrible nom du point de vue marketing.
"Traversée" évoquant plus sûrement la galère d'un voyage en car pour cause de grève SNCF que des vacances.
L'évidence d'un "Voyage en Bretagne" prévaudrait finalement, c'est simplement ahurissant d'avoir envisager autre chose, surtout pour une proposition en terme commercial bien trop absconde pour l'industrie touristique.
À comparer avec la politique touristique de la fin des années 90 cherchant à rameuter le touriste du Val de Loire.
Ça sera très intéressant d'ailleurs.
Mais on ne lâche pas la formule pour autant, en sous-titre. Pas trop en demander.
Petite révolution de langage aussi. Depuis combien d'années un document issu de l'administration, de près ou de loin, a évoqué Nantes en des termes et thêmes identifiés comme bretons ?
Sans placer "libérien"* ou "Pays de la Loire" ???
Je laisse au normand le soin de commenter l'appropriation du Mont.
Ah ça, proposer un départ de Saint-Malo pour le Mount de Cornwall,ça aurait eu de la gueule. Mais c'est pas dans l'esprit CCI.
Reste le parcours en lui-même. C'est tellement foutraque que ça peut avoir du mal à trouver son public.
Nantes/Rennes et Saint-Malo/Mont-Saint-Michel, plutôt des publics différents a priori. Mais les modes de consommations du secteur évoluant tellement vite, une approche Bretagne gallo justement inédite,ça vaut le coup d'essayer pour l'effet original et nouveau.
Ça aurait pu commencer parle nom du parcours. Ya pourtant du jeu de mot à faire avec "gallo",du slogan de Syndicat d'initiative. Sans doute trop facile et popu pour les Jeans et autres Blaises.
*correction Google
En effet, le Voyage à Nantes propose bien désormais un voyage sur les marches de Bretagne :
RépondreSupprimerhttps://www.nantes-tourisme.com/pdf/traversee-moderne-d-un-vieux-pays.pdf
Jean Blaise vient il de découvrir que Nantes n'étant ni Amsterdam, ni Barcelone, elle ne peux exister seule...et sans référence à son territoire.
Un aveu d'échec après 6 ou 7 ans de folles dépenses pour faire exister un VAN anémique, en dépit des communiqués dithyrambiques de la municipalité qui nous promettait pourtant des touristes chinois par milliers...
D'ailleurs les annonces du VAN 2018 sont un peu souffreteuses cette année : lassitude, redondance...
Attendons néanmoins les articles de complaisance annuels du Monde ou de Télérama
Etonnant le poids de ce pachyderme dans la vie nantaise !
RépondreSupprimerDès qu'on évoque l'éléphant et d'autres machins des Machines, la chronique s'embrase et on ne parle même pas du futur arbre aux Hérons...
La sidération des Nantais devant ce bestiaire XXL est un mystère.
Un mystère ? Je ne suis pas de votre avis.
RépondreSupprimer* Un, il y a un investissement en communication considérable, et la répétition est une technique de com' efficace. Ce qui est répété finit par être cru, que ça soit vrai ou pas.
* Deux, si frelaté soit le principe même des Machines de l'île, si boiteuse soit leur gestion, le Grand éléphant lui-même est une machine spectaculaire, impressionnante.
* Trois, l'Eléphant est devenu une habitude. La disparition de l'effet de nouveauté n'a pas entraîné de lassitude, comme je le pensais en 2007, car il a été remplacé par un effet de routine. Les Nantais ont pris l'habitude de venir se promener au bord de la Loire sur le site des Chantiers. L'Eléphant fait aujourd'hui partie du paysage, et l'on aime retrouver les mêmes choses à la même place.
Vous écrivez : "dès qu'on évoque l'éléphant et d'autres machins des Machines". Remarquez que c'est presque toujours de l'Eléphant qu'on parle. Le Carrousel des mondes marins, qui a pourtant coûté beaucoup plus cher, n'intéresse plus guère, moins de six ans après son ouverture. Les visiteurs vont voir l'Elephant, jamais le Carrousel (même s'ils le visitent parfois, en guise de lot de consolation parce que l'Eléphant est déjà plein : il y a ruissellement de l'Eléphant vers le Carrousel ou la Galerie). Lui n'est pas devenu une habitude. Il pourrait disparaître sans que cela chagrine grand monde. Et il est probable qu'un Arbre aux Hérons serait comparable au Carrousel bien plus qu'à l'Eléphant.
@Herminie44
RépondreSupprimerPetite remarque : le parcours ne concerne pas les marches de Bretagne (sauf le Mont-Saint-Michel), d'un bout de Normandie, en Mayenne et Maine-et-Loire. Ce sont en tout cas les dernières, administrées par Robert le Fort. Il est vrai que, comme par hasard, on n'entend parler en cours d'Histoire que des marches pré-fondation de la Bretagne. Alors que depuis 1000 ans, le patrimoine de cette tranche d'histoire est essentiellement constitué des forteresses militaires qui marquent les 2ndes marches du côté de nos voisins.
J'ignore comment on nomme le réseau breton, allant de Dol à Machecoul. Marches de Neustrie ? De France ?
...les marches de Bretagne (sauf le Mont-Saint-Michel) faites d'un bout de Normandie..
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe-ne-suis-pas-gros n'a pas dit...
RépondreSupprimerLa créativité de Monsieur Corcoult est décidément sans limite ! Le voilà brandissant fièrement son King-Kong en plastique, marchandé la veille au Secours Populaire, entre deux séries de bières... Monsieur Corcoult et sa presse ne nous prendraient-ils pas un peu pour des Kong ? Il y a de sympathiques vide-greniers annoncés ce week-end. On attend avec impatience les nouveaux éclairs de génie du Maître... Des tortues combattantes, façon ninja, une belle jeune femme blonde tout de rose vêtue, des voitures-qui-se-transforment-en-robots ? Presse-Océan est déjà sur le coup. Vivement lundi, qu'on en sache plus !
@Vert cocu
RépondreSupprimerAvant de donner des leçons, faudrait vous cultiver!
Les marches est un terme générique signifiant bordures. La Bretagne, territoire des Bretons réfugiés en Armorique, donc la Bretagne historique, ne comprend ni le comté de Nantes, ni le comté de Rennes, ni le comté de Vannes sous le controle Franc. Robert le fort n'a jamais été le gouverneur des marches de Bretagne; sans doute confondez vous avec Roland, le neveu de Charlemagne. Le contrôle militaire de la Bretagne (historique) est confié par Charlemagne à son neveu dont chacun sait qu'il n'est pas mort à Ker bro'duk en Finistère. Avant l'invasion des comtés nantais et rennais par le comte breton de Vannes, nommé par l'empereur Louis, fils de Charlemagne, les marges étaient donc ce cordon sanitaire formé par les comtés de Vannes (pour la partie sécurisée), de Rennes et de Nantes. Après leur invasion, un nouveau cordon plus loin est instauré : comté du Maine, de l'Anjou et du Poitou. Il y a donc bien plusieurs zones différentes qui répondent réellement à l'appellation. Bien évidemment, les bretonnistes ne retiennent que la plus grande extension (provisoire) comme les tenanciers de la grande Allemagne du IIIè Reich pour qui la France est en Allemagne.
Pour ce qui concerne la Neustrie, c'est le fief héréditaire des rois de France adoubé par le pape et non le royaume des Francs dont les provinces en sédition ou non sont des fiefs y compris en Bretagne même lorsque les Plantagenêts règneront sur l'Europe du Moyen-âge. Au IXè,Xè siècle suite au partage de l'empire carolingien et aux raids vikings, il y a bcp de confusion mais la monarchie reprendra ses droits partout. Par la suite, le comté de Nantes (et d'Angers) sera donné aux Ingelgériens qui deviendront les Plantagenêts et l'empire Anglo-normand. Ce n'est qu'après le retour de l'autorité de la monarchie française que Nantes sera intégrée au nouveau duché de Bretagne. Tardivement donc (XIIIè) et jusqu'au XVIIIè (1789).
Je suis subjugué à l'idée que les talents du machiniste de la grosse bête puisse faire glousser plutôt que barrir la bestiole. Sans doute, les machinistes ont-ils reçu la consigne de divertir eux-aussi. Vu la vocation de bricoleurs du zonzon, la plaisanterie improbable n'est pas totalement à écarter, hélas.
RépondreSupprimerAlors, le barrissement de l'éléphant en bois ? Émission old-school ou high-tech ?
RépondreSupprimer@Anonyme26 mai 2018 à 15:03
RépondreSupprimerhttps://fr.m.wikipedia.org/wiki/Marche_de_Bretagne
Effectivement, à l'école, on ne parle que des Marches de Bretagne côté Neustrie.
Seulement, celles-ci, en terme de frontière fortifiée, auront bien moins marqué le territoire (en un siècle ?) que la 2e, courant de la fondation de la Bretagne suite à l'alliance de Nominoë et Lambert au duc François II, bien que, comme le précise l'article, les invasions vikings affaibliront tant la Bretagne, qu'elle ne montrera plus jamais d'ambition expansionniste (et devenant un des rares États européens à avoir duré aussi longtemps que 9 à 10 siècles), la France ne créera plus de charge dédiée à la seule défense contre la Bretagne.
Reste un réseau très spécifique de forteresses qui n'ont pas grand chose à voir avec Roland (à l'école, on apprend aussi que Roland n'est neveu de Charlemagne que dans la légende, ce qui ne rend votre intervention que plus risible).
Maintenant, effectivement, on ne parle que de Marche(s) de Bretagne, je trouve simplement étonnant qu'on ne parle pas du territoire de l'ouest de la Neustrie, qui est, lui aussi, passé d'un camp à un autre, avant de revenir à son point de départ franc.
Si seuls Rennais et Nantais étaient passés de l'un à l'autre, pourquoi pas. Si encore, ils étaient revenus à la France dans l'ouest breton (quelque part, aujourd'hui, seul ma Loire-Atlantique pourrait être vu comme Marche de Bretagne).
Si on avait tous, aujourd'hui encore l'occasion de la visualiser, au gré des nationales et départementales.
Mais non. Ce que je constate, c'est du temps de la Neustrie de Roland, il n'en reste pas grand chose en Haute-Bretagne. Au contraire de celui qui commence avec Robert le Fort.
N'importe quel touriste vous le dirait.
ils étaient revenus à la France SANS l'ouest breton
RépondreSupprimerA propos du Grand Éléphant et des Machines de l'île, je vous invite vivement à lire le deuxième épisode du feuilleton "Traversée maudite d'un fier pays", qui se passe justement à Nantes.
RépondreSupprimerC'est vraiment très drôle.
Johanna Rolland, Jean Blaise et consorts regretteront longtemps d'être montés sur le dos du pachyderme...
https://hubertlehobbit.blogspot.fr/2018/05/la-rincee-jour-2.html
Merci M. Le Guéguen, Hubert le Hobbit a une prose délectable qui ferait défaut à notre culture s'il n'avait consenti à en faire profiter Nanteuville.
RépondreSupprimerJe ne doute pas un instant qu'il ait matière à écrire ici également, avec la grande similarité dans le domaine du business de l’entreprise de la compékikivité.
"HUBERT:Ces gens-là n’ont vraiment aucun sens de notre intérêt général!
Et cette fois, c’est ce pauvre Manuel le Roquet qui fait les frais de leur inconséquence. C’est d’autant plus déplorable qu’il possède une formidable «capacité à rassembler, à trancher et à tenir un cap», comme l’a tout de suite remarqué Nathalie la Taloche!
DIDIER : Et à le tenir sans jamais craindre le ridicule, comme il nous l’a montré encore récemment en annonçant la suppression du 49.3!
NATHALIE: [elle se remet à pleurer] Bouh... C’est comme si, toutes ces années, nous lui avions léché goulûment le cul pour rien!
DIDIER : Il est vrai que nous n’avons pas été avares de notre salive avec lui,et je dois dire qu’en cette matière, tu as dépassé tous les records, Nathalie la Taloche!
NATHALIE: [la tête basse, la bouche sèche ] Comme tu dis, Didier le Dindon.Pour lui, j’ai dépensé ma bave sans compter, et aujourd’hui... [elle repart en sanglots] Qu’est-ce que je vais devenir?"
https://fr.scribd.com/document/338860971/S2E3-La-veste
@Patrick Le Guéguen
RépondreSupprimer@Anonyme du 28 mai 2018 à 16:02
Les blagues les plus courtes étant les meilleures, il serait bon de conseiller à l'auteur de ne pas aller jusqu'en Normandie. C'est quand même laborieux.
Plutôt que de conseiller à l'auteur de ne pas écrire, peut-être serait-il bon de conseiller de ne pas lire?
RépondreSupprimerSi votre Altesse Sérénissime et plénipotentiaire le permet.
"Une chambre à air pincée par le machiniste ! Ah ! ah ! ah ! elle est bien bonne !"
RépondreSupprimerBen oui, voilà la preuve par l'image :
https://www.france.tv/france-3/faut-pas-rever/2847673-la-loire-un-monde-fantastique.html
Vous ne connaissez-donc définitivement pas votre sujet (et vous auriez pu être moins péremptoire dans votre réponse à mon commentaire).
Anonyme, je suis désolé de vous avoir jeté dans un tel abîme de réflexion ; j'espère que vous êtes parvenu à faire autre chose que de rédiger votre réponse pendant ces trois ans et demi. Cette entrée en matière vous montrera, je l'espère, que je pratique le second degré. J'écris "elle est bien bonne" comme on dit : "j'y crois pas", c'est-à-dire qu'on y croit mais que c'est si risible qu'on fait mine de ne pas y croire. Vous me suivez ? Je ne contestais pas que les barrissements de l'éléphant fussent produits par une chambre à air, je soulignais juste le contraste avec ses prétentions "technologiques".
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